Ils sont complices. Par Famara Ibrahima Cissé
Depuis plus de 4 ans, Ecobank a décidé de ruiner ses clients pour se maintenir en vie et satisfaire ses actionnaires. En effet, à la fin de chaque année, tous les clients qui sont sous engagement se voient soutirer indument une somme qui varie entre 25.000f à 50.000f selon qu’on a un prêt ou deux prêts parallèles dans la même banque.
ILS SONT COMPLICES.
L’ACSIF a avisé qui de droit. Ainsi, Ecobank de par ses gestionnaires de crédit ne peut expliquer ces prélèvements indument opérés sur les pauvres travailleurs. Ces prélèvements ne sont ni des agios, ni des impayés…. Mais, ils l’ont nommés par plusieurs concepts différents pour certains employés de la banque c’est des « frais de gestion de crédit » ou « frais annuels de crédit» pour d’autres employés toujours de Ecobank.
ILS SONT COMPLICES.
Dans ses pratiques, Ecobank exige l’achat de la carte GAB à tout client voulant retirer moins de 400.000F en lui refusant l’entrée dans les agences. Cette tyrannie que les complices feignent d’occulter est une plaie qui se creuse de l’intérieur et qui finira par tuer tout le corps s’ils n’y prennent pas garde.
ILS SONT COMPLICES.
Les complices informés ne peuvent donner aucune explication encore moins prendre des sanctions contre de telles pratiques. Ceci laisse souffrir atrocement les usagers de cette institution bancaire qui du reste ne respecte ni ses usagers, ni les complices, ni les principes moraux d’une bonne gouvernance financière.
ILS SONT COMPLICES.
Dans les années 2000, la même banque a soumis aux usagers la cession d’actions avec à la clé une publicité pompeuse et mensongère qui les avait poussé à souscrire. Mais, depuis lors, les souscripteurs peinent à recevoir leurs dividendes malgré leurs nombreuses réclamations envoyées aux complices. De surcroit, leurs actions dévalorisées, ils se plaignent sans aucune aide.
ILS SONT COMPLICES.
Mais, le peuple avilit et ruiné par Ecobank-Sénégal dans l’impunité totale doit encore rester ferme et mobilisé pour dire non à la délinquance financière et aux abus bancaires insoutenables de cette malheureuse banque qu’on aurait jamais acceptée dans l’UEMOA.
Famara Ibrahima CISSE Pdt de l’ACSIF